À propos du Dr Freud

Comme vous, j’adore être dans ma clinique, avec mes patients.

Je crois que les relations que nous établissons avec nos patients sont ce qui rend notre travail si gratifiant. Qu’un patient vienne nous voir avec du scepticisme, de la peur, de l’espoir perdu, ou simplement pour continuer à profiter des bienfaits déjà ressentis, nous nous embarquons ensemble dans un voyage unique, visant à réduire sa souffrance et à améliorer sa santé.

Bien que j’apprécie vraiment chacun de mes patients, je dois admettre que je suis particulièrement excité lorsqu’un patient vit une transformation spectaculaire – ce que certains appellent un «miracle chiropratique».

Ma première expérience de ce phénomène a eu lieu avec mon tout premier patient, alors que j’étais interne. Je me souviens de Mark comme d’un homme jovial qui se plaignait principalement de douleurs au dos et aux genoux. Je l’ai examiné (en utilisant le formulaire de 18 pages de la clinique étudiante) et j’ai fait de mon mieux pour l’ajuster tout en essayant de ne pas paraître trop nerveux. Lors de sa visite suivante, il m’a accueilli en disant : « Je ne sais pas ce que tu m’as fait la dernière fois… » (oh là là…). Il a poursuivi : « … mais depuis que tu m’as ajusté, mon sens de l’odorat est revenu. J’ai perdu mon odorat il y a plus de 20 ans! ».

J’ai appris 2 précieuses leçons de Mark.

Tout d’abord, les histoires que j’avais entendues à l’école étaient vraies, des choses remarquables PEUVENT se produire avec la chiropratique. Probablement plus que toute autre profession, la chiropratique est réputée pour produire des résultats qui changent la vie. Et tout ça, juste avec l’utilisation de nos mains.

La deuxième leçon est en fait venue lors de la troisième visite de Mark. Il m’a dit qu’après avoir expliqué avec enthousiasme à son médecin ce qui s’était passé, son médecin lui a immédiatement répondu que c’était impossible, qu’il n’y avait absolument aucun lien entre la colonne vertébrale et le nez. J’ai compris alors que si la chiropratique revendiquait le mérite, au-delà de « l’effet placebo » et de « rémissions spontanées », je devrais apprendre à mieux expliquer, À N’IMPORTE QUI, le mécanisme exact du fonctionnement des ajustements.

En effet, depuis le tout premier ajustement chiropratique jusqu’aux centaines de millions qui ont été livrés depuis, la neurologie a toujours été au cœur de l’explication de nos bienfaits. Tout comme nos ancêtres employaient la neuroscience du jour, à mesure que la science évolue, nous devons faire de même.

La neurologie moderne nous offre non seulement une explication plausible des effets considérables de nos ajustements, mais elle nous offre également la possibilité de mieux examiner et traiter nos patients. Cela mène à son tour au facteur le plus important qui contribue à une pratique réussie et à la confiance en ce que nous faisons : des résultats fiables et exceptionnels.